J-drama
Honey & Clover
HACHIMITSU TO KULOBURU Titre alternatif/Traduction : Miel et trèfle Réalisateur(s) : Masaki TANIMURA (LIFE), Hiroaki MATSUYAMA (Liar Game) Genre : Romance, Amitié, Vie, Comédie Tiré d'un manga : « Hachimitsu to Clover » de Chika UMINO Nombre de saison(s) : 1 Format : 11 épisodes de 46 min Année de diffusion : 2008 sur Fuji TV OST : Thème "Canvas" d’Hirai Ken Synopsis
Yuta TAKEMOTO, Shinobu MORITA, Takumi MAYAMA et Ayumi YAMADA sont des étudiants dans une école d’art. Leur quotidien est simple et joyeux : Yuta est volontaire, gentil et naïf ; Shinobu a un caractère très étrange, à la fois rigolard, désinvolte et sérieux ; Takumi, froid et sérieux, travaille pour un cabinet d’aménagement intérieur dont la directrice, veuve éplorée, fait battre son cœur depuis longtemps ; quant à Ayumi, cette jeune fille souriante et au caractère bien trempé, profondément amoureuse de Takumi, elle s’épanouit grâce à ses poteries. Mais dans leur petit monde fragile mais bien rangé débarque Hagumi HANAMOTO, une peintre au talent hors du commun, à l’apparence enfantine et à la personnalité innocente, naïve et silencieuse.
Hiroki NARIMIYA, Très vite, Yuta et Shinobu tombent amoureux d’elle, mais chacun à leurs manières : Yuta tente de s’approcher d’elle, mais il est si timide qu’il ne peut que regarder « Hagu’ » succomber petit aux avances joueuses et surprenantes de Shinobu. De son côté, Ayumi tente plus que jamais de s’immiscer dans le cœur si indifférent de Takumi. La vie réserve cependant encore beaucoup de surprises à ces jeunes artistes … Tôma IKUTA, Riko NARUMI, alias "Shinobu MORITA" Acteurs alias "Yuta TAKEMOTO" alias "Hagumi HANAMOTO" Osamu MUKAI, alias "Takumi MAYAMA" Yuta TAKEMOTO : Tôma IKUTA (HanaKimi) Hagumi HANAMOTO, dite « Hagu » : Riko NARUMI Shinobu MORITA: Hiroki NARIMIYA (Gokusen 1) Takumi MAYAMA: Osamu MUKAI (Atashinchi no Danshi) Ayumi YAMADA: Natsuki HARADA Rika HARADA (veuve dont Takumi est amoureux): Asaka SETO (LIFE) Shuji HANAMOTO (oncle d’Hagu et professeur): Jun MURAKAMI Natsuki HARADA, alias "Ayumi YAMADA" Asaka SETO Jun MURAKAMI Critique by me
Le scénario est à fois surprenant de réalisme et irréel, simpliste et compliqué, mais surtout terriblement touchant. Par contre, j’ai décroché au 9ème épisode et impossible de s’y remettre : je n’arrivais plus à ressentir la poésie du drama. Alors soit il n’y a plus de poésie à partir du 9ème épisode, soit je suis très bizarre (-_-‘’’ remarque, ça serait pas une nouveauté)
EDIT : Finalementje m'y suis remis, et bien que la fin ne m'ait pas tout à fait satisfaite, j'en suis heureuse.
Les acteurs sont pas mal. On a le droit à de superbes jeux de la part d’un IKUTA (TAKAMOTO) plus doux et plus fragile que jamais dans un drama qui le confirme comme un acteur trop négligé par les producteurs (en plus, je le trouve très mignon, mais ça ce n’est que mon avis perso’)(enfin là, faut dire, c’est tout mon avis perso)(alors ça a pas d’importance)(est-ce que vous avez remarqué que je farci mes phrases de parenthèses ?)(ça fait un peu bizarre)(enfin bref)(qu’est-ce que je disais déjà)(ah oui c’est vrai) Donc on a le droit à de superbes jeux d’acteurs de la part de TOMA (TAKEMOTO), de NARIMIYA (MORITA) et de MUKAI (MAYAMA) (comme d’hab’, il est moyennement expressif, mais sa simple présence est éblouissante !!! il est tellement beau >-< >-< !!!). HARADA (YAMADA) m’a assez convaincue, mais par contre NARUMI (Hagu) … elle avait un rôle un peu dur, certes, et elle est relativement crédible, mais elle ne m’a bizarrement pas emballé du tout … Et puis au début elle ne parle que super-rarement et c’est l’une de ses caractéristiques et puis au bout d’un moment ça disparaît complètement et elle devient aussi bavarde que n’importe qui.
La musique est très jolie et mélancolique. 5 jeunes, plus vraiment des adolescents mais pas encore des adultes, qui se cherchent et se tournent autour tout en tâtonnant afin de trouver leur chemin dans la vie ... Un drama joli, un peu étrange, parfois peu crédible, mais plein de poésie. Par contre, pas facile de rentrer dedans. Ma note : 15/20
Ecrit en novembre 2010
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